Grace à PetitPage, j'ai trouvé un article passionnant sur les romans japonais, dont ceux de Haruki Murakami, de la déroute du lecteur français face à eux, de la difficulté de leur traduction en français. L'article est écrit par Corinne Atlan, qui traduit de nombreux romans japonais.
C'est ici
Cette part irréductible, qui demeure inaccessible au lecteur français, oblige le traducteur à accepter l'idée qu'il ne peut pas tout traduire, mais seulement transposer, trouver des équivalences. Restituer au mieux ce qu'il a saisi de l'intention de l'auteur. Dans la traduction comme dans toute forme de communication humaine, imparfaite par essence, demeure une part d'ombre, qu'il faut accepter – et écouter aussi, car elle ouvre encore sur d'autres échos. pour l'attribut italique
Corinne Atlan
OOoooohhhh... Clin d'oeil qui fait rougir! Merci!
RépondreSupprimerLe Petit Page se demande si Dvorah-san a lu l'excellent "Entre deux mondes" de Corinne Atlan, la traductrice préférée du PP...
Le Petit Page, qui chuchote tout doucement à l'oreille de Dvorah-san que, voici presqu'un an ( à 15 jours près ), PP a eu une conversation très agréable avec MB ( sans son hérisson élégant...à Kyôto... ) au sujet des traductions... MB devait ensuite rencontrer Corinne Atlan...
Non, pas lu, mais le ferai !
RépondreSupprimerPrudence PP, les hérissons finissent parfois écrasés ! ;-)