C'est sûr comme dit l'autre le paysage est serein : des grues, des boeufs. Y en a même un qui fume la pipe. C'est très beau, c'est sûr, composition parfaite. Mais quand même, femmes et boeufs même combat : au boeuf la paille, à la femme le grain, et l'homme peut marcher d'un pas léger...
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Hélas, quel que soit le pays, quelle que soit la culture, les femmes se trouvent toujours en position de lutte pour redresser leur dos, qui courbe leur échine...
RépondreSupprimerVivement le jour où la lutte sera finale...et où les oeuvres d'Hiroshige ne seront plus, pour elles, que symboles de sourires et douceurs...
Le Petit Page, qui n'est pas une bête de somme...même s'il est hyper fort en addition: un sourire + un sourire = un rire doux!