7.2.09

Assommons les pauvres

Aujourd'hui, pour la première fois à Nice, j'ai croisé quelque chose comme ça :

Je ne pourrai jamais, jamais m'y habituer. C'est comme un coup de poing qui m'est donné dans le ventre, un dégout de l'humanité qui me prend aux tripes, qui me donne envie de faire comme Baudelaire dans assommons les pauvres.
Mais je n'ai rien fait, et j'ai passé mon chemin. Je n'en décolère pas.

5 commentaires:

  1. a Nice ???!!! ben ca alors.......

    Bisous Dvorah, passe un bon apres-midi de lundi !

    RépondreSupprimer
  2. Anonyme5:04 PM

    D'accord avec toi; c'est tout simplement inacceptable et ça parait de la provoc...

    RépondreSupprimer
  3. Sur moi, effet garanti :-(

    RépondreSupprimer
  4. Anonyme11:09 PM

    Tu veux parler des Dark Vador au féminin? Oui j'en croise parfois dans ma ville...9a me fait bien l'effet de croiser un Dark Vador au féminin..un peu glaçant quoi...

    RépondreSupprimer
  5. Merci pour ton commentaire.
    Pour moi, ce n'est pas du tout Dark Vador, car Dark Vador avait fait un choix. Il n'y a aucun choix ici, mais une grande violence exercée, une violence stupide.

    RépondreSupprimer