"Les jours passèrent. Ils passèrent, et chaque matin, Fredelle s'éveillait émerveillée de ne s'être pas noyée dans son chagrin. Elle sautait du lit, comme les héroïnes de ses livres d'enfants, faisiat un grand feu dans la cheminée et constatait, en mangeant ses tartines, que le niveau de tristesse avait encore baissé."
Agnès Desharte, Le principe de Frédelle, ch.21
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