"Mes poches ne contenaient rien que de très banal : mes clés, un mouchoir, mon porte-monnaie. Elle contempla le tout un moment avec fort peu d'intérêt, puis inspecta le contenu du porte-monnaie. Il devait contenir dans les cinq mille yens, plus une carte de téléphone, une carte bancaire et mon abonnement de piscine. Rien d'extraordinaire. Rien qu'on eut envie de mesurer, peser, palper, plonger dans l'eau ou examiner à la lumière par transparence. "
MURAKAMI Haruki, Chroniques de l'oiseau à ressort, 3e partie l'oiseleur, ch. 8 : Cannelle et Muscade
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