"La même radiocassette noire diffusait la même musique d'ambiance, tandis qu'au fond de la boutique gémissait un vieux modèle de climatiseur, et que la vapeur des fers à repasser embuait le plafond. La Marée basse, avec Robert Maxwell à la harpe, passait juste à ce moment-là. Comme j'aimerais aller à la mer ! pensai-je. Je sentis l'odeur des dunes, imaginai le bruit des vagues se brisant sur le rivage, le vol des mouettes, rêvai à des canettes de bière bien fraîches. "
Chroniques de l'oiseau à ressort, MURAKAMI Haruki, deuxième partie L'oiseau prophète, ch.1, Aussi cocret que possible; l'appétit dans la littérature
Au Japon, la mer sent moins fort qu'en France, je ne sais pas pourquoi, mais c'est un fait...
RépondreSupprimerYOI-O-TOSHI-O, chere Dvorah !
Merci Flo ! Toi aussi !
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