24.1.10
Le paradis des chats
Olivier s'en est allé rejoindre son chat, un chat roux comme celui là. Olivier le bien nommé est parti de chez lui comme il l'avait voulu. Les étoiles ont maintenant perdu leur nom que je ne saurai plus, lui qui était ma carte du ciel et mon dictionnaire de leur éthymologie arabe. C'était le seul homme qui avait réussi à me donner la gueule de bois, au champagne. J'ai peur de perdre sa voix, qui sonne encore dans ma tête, et je ne sais comment faire, sinon la pleurer avec tout le reste, ce qu'il n'aurait pas aimé du tout. Je te demande pardon Olivier, je prendrai soin de Grande Sœur et dès que nous en aurons le courage nous retrinquerons, Lehaim !
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Bel hommage à Olivier que je ne connais pas, mais dont l'âme vibre encore sur ce petit espace et dans les yeux de ce joli chat.
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