Dans la guerre des médias, les nombres de morts s'affichent, comme des preuves ... mais des preuves de quoi ? Quand on est mort, on est mort. 1000 morts d'un côté équivalent-ils à 1000 morts de l'autre ? La question se pose sans cesse ... Vaut-il mieux mourir après avoir agonisé sous une poutrelle métallique tombée pendant le bombardement, vaut-il mieux brûler vif, être éviscéré ou que sais-je encore ? La chanson de Léonard Cohen, "who by fire" est d'actualité. La question est que l'on ne peut choisir.A la fin de la seconde guerre mondiale l'Amérique a tapissé l'Allemagne nazie de bombes, faisant de très nombreux morts civils dont on ne parle guère. Fallait-il se poser les questions que nous nous posons aujourd'hui ? Se poser ces questions c'est peut-être simplement le luxe de pays en paix, de pays "tranquilles". De pays spectateurs, comme dans Angleterre-Afrique du Sud au rugby hier soir où l'on choisit de supporter une équipe plutôt qu'une autre. Mais quid de l'arbitre ?
30 morts français
dont les noms connus sont :
AVIDAN, 26 ans, de Bordeaux
BYNYAMIN, 23 ans, de Yerres
CELINE, 32 ans, de Lyon
CARMELA, 80 ans
DAN, 25 ans, de Marseille Eric, et sa fille Ruth
MARC, 51 ans NAOMIE , 23 ans, de Créteil NATHAN , 20 ans
NOYA, 12 ans
SIGAL, 31 ans
VALENTIN, 22 ans, de Montpellier
7 otages
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire