"La nuit où elle mourut, mon premier geste fut de lui abaisser doucement les paupières. En même temps que je lui fermais les yeux, les rêves qu'elle n'avait cessé de faire pendant soixante-dix-neuf ans s'en allèrent aussi silencieusement qu'une pluie d'été sur un chemin, et ensuite, il ne resta plus rien."
MURAKAMI Haruki, Ecoute le chant du vent, ed. Belford, ch.1.
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