Quand je rentre dans ma petite ville en été, je marche de nouveau sur les chemins que nous avons arpentés ensemble, je m'assois seul sur les marches de hangar et je contemple l'océan. Lorsque je crois que j'ai envie de pleurer, mes larmes ne coulent pas. C'est ainsi.
Ecoute le chant du vent, MURAKAMI Haruki, ch.39
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