"Et ce, en fixant d'un air sévère son écran, tandis que ses doigts pianotent au rythme de la musique, sans qu'il en ait spécialement conscience. Aucun mouvement superflu. Dans la pièce, il n'y a que cette musique ciselée et précise du XVIIIe siècle et lui.
Murakami Haruki,
Le passage de la nuit, ch.7,
deux heures quarante-trois
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