11.5.12

Le passage de la nuit (10) : claviers


"Et ce, en fixant d'un air sévère son écran, tandis que ses doigts pianotent au rythme de la musique, sans qu'il en ait spécialement conscience. Aucun mouvement superflu. Dans la pièce, il n'y a que cette musique ciselée et précise du XVIIIe siècle et lui.
Murakami Haruki, Le passage de la nuit, ch.7, deux heures quarante-trois

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