"Le faîte de ses grandes oreilles pointues étaient visible entre ses cheveux blancs joliment coupés. Ces oreilles me faisaient ressentir comme une force vitale d'une fraîcheur vivifiante. Elles m'évoquaient la vivacité des champignons de la forêt qui, les matins pluvieux d'automne, pointent leur tête au milieu de l'amoncellement des feuilles mortes. "
MURAKAMI Haruki, Le Meurtre du Commandeur livre 1, ch. 7. Un nom dont on se souvient aisément. Que ce soit un bien ou un mal, ed. Belfond
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