31.8.08

Totoro au Japon, 8 : fin heureuse


...mais non, Totoro a trouvé un compatriote, et il le ramène avec lui : il ne sait pas la chance qu'il a... ;-)

Le son du Japon, c'est fini

Bye bye le pays où l'on fait chanter les couloirs de petits sons cristallins, de chimes, de bruits d'eau... et mon âme aussi, qui pleurera aussi en réécoutant le son du Japon de si loin.

28.8.08

Totoro au Japon, 7 : transformation


Que se passe-t-il ? Totoro aurait-il été transformé pendant son absence sur ce blog ????????

27.8.08

Le son du Japon, 23 : le musée Edo à Ryogoku


Au musée, reconstitution de rêves orientaux de splendeur occidentale chez les riches Japonais du XIXe siècle.

Le son du Japon, 22 : Chanko restaurant à Ryogoku


Le chankonabe est une fondue conviviale. Les sumos, que l'on croise à l'extérieur se rendant au Ryogoku Kokugikan, la mangent quotidiennement. En ce jour de pluie et de froide humidité, l'ambiance y est particulièrement réconfortante

26.8.08

Devinette : solution


Boutique à Harajiku

Le son du Japon, 21 : Train du retour


Voyage de retour Tokyo-Yokohama, à l'heure de sortie des salarymen. Il n'a pas arrêté de pleuvoir toute la journée.

25.8.08

le son du Japon, 20 : Tortue


...et au Rikugien, quand il pleut, la vie continue : une tortue d'eau n'a rien à faire de la pluie.

Le son du Japon, 19 : pluie au jardin


Il pleut encore. En plein coeur de Tokyo, Rikugien, un autre jardin, et la pluie.

Le son du Japon, 18 : Brouillard artificiel


Au Sankeien à Yokohama, sous la pluie, un artiste de la Triennale fait des essais de brouillard.

23.8.08

Le son du Japon, 17 bis : entracte( suite)


...et du même endroit, vue du port en plein travail.

Le son du Japon, 17 : entracte


Petite pause presque silencieuse : la grande Roue d'Odaiba à travers le télescope du Telecom Center Observatory

21.8.08

Le son du Japon, 15 : une gare à Yokohama


Des trains (compagnies privées), il y en a tout le temps pour aller partout. A cette heure-ci, les gens attendent bien sagement les uns derrière les autres l'arrivée du train (une autre planète pour les Français). A la fin de l'enregistrement, la voix du petit oiseau sort tout droit du haut parleur du quai, enregistrement numérique.

20.8.08

Devinette : indice

Alors que j'hésitais à vous donner la réponse, voici que le dernier article du blog les autres japonais nous donne une bonne explication de l'interrogation suscitée par cette réponse que je vous laisse deviner...
Le présentoir a été photographié dans un des plus grands centres commercial de Sendai, la plus grande ville du Japon Nord, pendant les fêtes de Tanabata, alors que toute les jeunes filles se parent de yukatas colorés pour se rendre à la fête.

Pas ici, pas maintenant, ailleurs peut-être


Avant de partir de France, j'ai acheté deux romans, un très court, l'autre long. Je n'avais entamé ni l'un ni l'autre, prise dans la lecture d'Homo Japonicus de Jolivet. Si quelqu'un d'ailleurs connaît la version Vira Japonica, je suis preneuse : après avoir passé 25 mn dans le train à observer une jeune fille se mettant du mascara (et encore, c'est parce que le train est arrivé au terminus qu'elle s'est arrêtée), cela s'avère nécessaire.
J'ai fini le premier de mes romans, Pas ici, pas maintenant. Une écriture qui me happe, comme d'habitude, de Erri de Luca.
Alors que je suis en train de réaliser à quel point le Japon est un pays extraordinaire mais épuisant, la juxtaposition du titre du roman terminé avec celui que je vais commencer m'interpelle : un livre d'Amoz os, Ailleurs peut-être...

Un extrait de De Luca que j'aimerais bien faire mien :
"Je voulais savoir pourquoi, quand les événements tardent, on est en attente. Je pensais à ta réaction : un agacement, une tension qui transformait inopinément toute une fraction de temps en une fixité, en un durcissement des nerfs, en une attente.
Ainsi donc je demandais à travers la porte entrebâillée de la salle de bains :
-Pourquoi l'attente existe-t-elle ?
-L'attente de quoi ?(...)
-Si maman n'arrive pas tu l'attends ?
-Bien sûr.
-Si la lumière s'éteint, nous attendons qu'elle revienne ?
-Je ne réussis pas à te suivre mais ça ne fait rien. Oui, nous attendons qu'elle revienne.
-Face à ce qui tarde et que nous devons attendre, nous sommes toujours en attente ?(...)
Papa si moi je ne veux pas être en attente et si je veux être sans attente, est-ce que je peux ?
Alors il cessa de se raser, ouvrit la porte en grand et, comme s'il avait compris quelque chose, je ne sais quoi, dit ces quelques mots :
"Si tu es capable de vivre sans attente, tu verras des choses que les autres ne voient pas."

Le son du Japon, 14 : Koishikawakorakuen


J'étais hier dans cet endroit extraordinaire, en plein coeur de Tokyo. A 30m de là, on entend le train, et les cris des filles sur l'immense grand-huit derrière Tokyo-dome. Mais je n'ose pas en parler, car Lionel Dersot l'a fait beaucoup mieux que moi, avec le son.
Seul inconvénient, une ARMEE de moutiques contre moi...
http://tokyo.blog.lemonde.fr/2008/07/12/aller-au-jardin-koishikawa-korakuen-son-et-images/
et avec l'image :
http://picasaweb.google.com/ldersot/JardinKoishikawaKorakuenTokyo?authkey=GJF0RQgGSoY

15.8.08

Le son du Japon, 13 : Engakuji à Kamakura


Encore un peu de sons de temple : corbeaux, tobis (milans), cigales, grand classique dans ce temple zen où l'on peut trouver des coins de grand calme.

13.8.08

Le son du Japon, 12 : Office au temple


Sur fond de cigale, un bout d'office dans un temple d'Ebina, avec les origamis du parvis qui volent au vent (pardon, j'ai coupé en plein suspense !)

Tanabata de Sendai sur le site de Florence


Mon amie Florence a fait un article sur le Tanabata de Sendai et comme elle a eu la gentillesse de m'y adjoindre (elle a été notre excellent guide) je vous conseille d'y aller voir !

12.8.08

Devinette


Comme j'en ai marre que personne ne me laisse de commentaires, je lance un concours : qu'est-ce que c'est ?

9.8.08

Histoires de toilettes (suite 2)

...Et que faire quand le bébé est trop petit ?
Le poser, en toute sécurité, près de soi...

7.8.08

Le son du Japon, 11 : Fête foraine


Sur le Chemin de la Grande Roue de Yokohama, tout est fait pour retenir le passant. Mais l'ambiance est assourdissante !

5.8.08

Histoires de toilettes (suite)


Toujours dans le même grand magasin, très fréquenté par les mères de famille et leurs enfants. Quand on a un besoin pressant, cela peut-être collectif, puisqu'on a les mêmes rythmes. Aussi, il est plus rapide et plus simple de l'effectuer ensemble. Pour la maman, le modèle ultra-sophistiqué western style, avec des boutons partout (Ne me demandez surtout pas comment ça marche, je n'en sais rien, la dernière fois j'ai mis un quart d'heure avant de trouver le bouton de la chasse d'eau, en fait complètement excentré sur le tuyau !) et un petit modèle genre école maternelle pour le petit...

Une petite faim ?

(Ca y est, elle parle encore de bouffe !)


Une petite faim disais-je : voici une croissanterie japonaise, ou plutôt un petit restaurant de ramen, directement sur le quai de la gare, où en cas de p'tit creux on peut avaler vite fait un petit bol de nouilles sobas.

Vigilance

En lisant un échange de messages un peu rude sur le forum France-Japon, une réponse et une réflexion me sont venues :
En ce moment, je prends beaucoup de photos et je fais de petits films. Quand je les mets sur mon blog pour ma famille et mes amis de France, je me dis que cela n'a aucun intérêt pour mes amis du Japon, qu'ils doivent se dire "mais qu'est-ce qu'elle a à montrer ça ?!"
Peut-être qu'un jour moi aussi je ne verrai plus tout cela car je l'aurai intégré. Et Je me demande "quand ?," Je souhaite au fond de moi "le plus tard possible..." Et même plus : "pourvu que non". Je pense que cela est possible. Que cela est même nécessaire. Mais il faut être vigilant. Ne pas se laisser happer par le quotidien. Je m'y exerce beaucoup lorsque je suis en France. Cela vient d'ailleurs malgré moi : par exemple, sur l'autoroute, toujours tenter d'apercevoir l'île Saint-Honorat et le vieux Monastère après la sortie Cannes; être saisie de plaisir à découvrir la Baie des Anges au loin en bas après le péage d'Antibes. Sourire au passage du livreur de socca à vélo, et ne pas oublier d'aller en manger une part brûlante. Chercher des yeux la couleur du jour de la façade Jaune de l'immeuble du fond du Cours Saleya. Guetter la floraison des roses dans le jardin du chemin de l'école ainsi que l'évolution des fruits du mandarinier et du cerisier.
Où que je sois, rappelez-le moi.

Déménagement


J'ai quitté mon "village" d'Aikawa. Je m'étais bien habituée à y vivre. J'aimais les promenades le long des rizières, le bruit des grenouilles, les petits feux d'artifices que tiraient les villageois depuis les berges de la rivière. La cloche du temple à six heure. Les promenades à vélo dans les petites rues cachant des hmls cachant des potagers cachant des fermes cachant des demeures cossues. Les larges rues terminant en impasses, les ruelles touffues qui menaient au loin. Les tombes parmi les maisons ou au milieu des carrefours. La voix d'outre-tombe du chauffeur du 66 qui menait à la ville. Le petit monde d'Hatsuo.

3.8.08

Sushis (suite) : échantillons

On peut choisir ce que l'on veut, éxécutés par paire. Le thé vert, en poudre, à faire soi-même, est à volonté, robinet d'eau chaude sur la table. On paye selon la couleur de l'assiette : les moins chers, 100 yens ( 0,60€), assiettes vertes : par exemple aux aubergines :

assiette bleue, 160 yens (1,10€):

Le son du Japon, 10 : Sushi ambiance


Une fois que l'on est sorti du salon d'attente, on se retrouve à table devant un tapis roulant. Deux employés font les sushis pour le tapis roulant, et les clients commandent aussi des sushis qui sont sur la carte, à haute voix en interpelant l'employé qui répète la commande à voix haute puis l'éxécute. D'autres employées saluent des clients qui s'en vont, ce qui dégage le salon d'attente.

Le son du Japon 9 : Feu d'artifices


L'année dernière, pour le feu d'artifice d'Atsugi, spectacle de 2h45, il y avait 600 000 personnes. Je ne sais pas combien nous étions cette année. Pour éviter la foule, nous nous sommes arrêtés une station de train avant. Nous avons joui du spectacle assis parmi les autres, assis sur des bâches avec leurs bentos, certains en yukata (tenue traditionnelle légère et adorable) dans un pré le long de la rivière; en bruit de fond les commentaires d'un speaker et les admonestations des policiers municipaux qui font fuir les gens qui sont immobiles au milieu de la route.

Salon d'attente

Au restaurant, on doit souvent attendre : alors on s'inscrit sur une liste et on attend d'être appelé, sur des banc prévu à cet effet. Ici, dans ce restaurant de sushis d'Ebina, il y a un salon d'attente :

1.8.08

Le son du Japon, 8 : Musiciens à la station centrale


Et ils ne font même pas la manche ! seulement de la pub pour leur site (http://www.grandmist.co.jp) et leurs CDs !